Bonsoir tout le monde, suite à des petits soucis passagers, l'affaire a été déménagée ici le temps que l'orage passe. Pas de panique, la tempête n'a rien à voir avec les commentaires, ni d'ailleurs avec un quelconque hacker. L'ouragan fait suite à une trop grande générosité d'information, au soucis du détail qui poussait les rédacteurs à tout montrer. À suivre...
Contrairement à certaines idées préconçues, le port d’une arme d’autodéfense sur soi est généralement interdit par la loi en France. Seuls quelques matériels en vente libre sont autorisés, et ce, dans des circonstances spécifiques. Légitime défense et restrictions législatives Bien que le droit à la légitime défense soit souvent évoqué dans le discours populaire, la réalité législative en France interdit le port d’armes sur la voie publique, sauf exceptions. Comme le stipule Cnews , la législation française classe les armes en différentes catégories, allant de la catégorie A (armes à feu et matériels de guerre) à la catégorie D, qui englobe des objets tels que le taser, la matraque, le couteau, ou le poing américain. Les autorisations de port, de transport et de possession varient en fonction de ces catégories. Interdictions et autorisations spécifiques Il est strictement interdit de porter ou de transporter tout type d’arme en France, même celles de catégorie D, sur la voie publiq
La mesure avait été intégrée en 2021 dans la loi « sécurité globale », mais n'était pas encore applicable. Par la publication d’un décret fin octobre 2023, policiers et officiers de gendarmerie peuvent désormais entrer dans un établissement recevant du public (ERP) avec leur arme lorsqu'ils sont hors service. C’était l’article 25 de la proposition de loi « sécurité globale » et l’une des mesures qui avaient provoqué le plus de résistance en 2021 lors de la discussion parlementaire. Devenu l’article 53 de la loi pour une sécurité globale préservant les libertés, promulguée le 25 mai 2021, la mesure est applicable depuis le 27 octobre 2023. L’article 3 du décret précise les conditions d’application : « Un fonctionnaire de la police nationale, un officier ou un sous-officier de gendarmerie d’active peut, en application de l’article L.315-3, accéder, en dehors de son service, à un ERP en étant porteur de son arme. » Les conditions sont les suivantes : les personnels ne doivent à
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